La Thaïlande est le pays mythique de tous les boxeurs. Là, la boxe y est érigée en sport national, les combats s'y déroulent chaque soir, et les directs inondent les chaînes de télévision. C'est dans cet univers que, muni d'un papier griffonné par un champion thaïlandais à Paris, Greg plonge. Il n'a jamais enfilé de gants, jamais pratiqué de sport de combat ni vu de ring de sa vie. Juste une intuition qui le pousse à prendre le premier avion pour le pays du Siam... En 20 ans, il découvrira ce pays, rencontrera l'amour et la désillusion, combattra un peu partout, dans les salles sordides et les stadium éblouissants. Il y trouvera les bars à prostituées mais aussi le sourire sincère des Thaïs et la fascination qu'exerce ce pays sur les Occidentaux.
Un recueil de textes et de nouvelles brèves qui nous plonge dans l'univers des sports de combat et plus particulièrement de la boxe pour évoquer les nombreux bienfaits, tant physiques que spirituels, qu'ils apportent. De la salle de quartier au camp d'entraînement thaïlandais, l'univers des sports de combat est décrit avec affection et justesse.
Que ce soit Katy, la championne qui oeuvre aussi dans le règlement de comptes, Manon, victime d'une agression violente, ou Samia et ses copines qui constituent les Amazones, elles ont toutes souffert, sué, pris des coups pour se transcender au travers de la boxe. Ces nouvelles feront découvrir des femmes de différentes générations, de milieux sociaux divers, ordinaires ou extraordinaires, qui vibrent pour le spectacle pugilistique, l'entraînement et la confrontation sportive , et puisent leurs forces dans ce qui anime les combattants lorsqu'ils montent sur le ring : la détermination, la confiance en soi et le courage.
Anthologie puisée dans quatre recueils de poèmes dont la publication s'est étalée de 2009 à 2019 : "Un billet pour deux" (2009), "Prière pour le début du gel" (2014), "Métaphysique du renard" (2016), "Le deuil ne porte pas de couronne"(2019). Accablé au cours de ces années par la disparition, l'un après l'autre, de ses proches amis, notamment le poète Bassam Hajjar (auteur de "Tu me survivras") et l'écrivaine et éditrice Mayy Ghoussoub, et grièvement blessé lui-même dans un accident de la route qui l'a plongé deux semaines dans le coma, le poète donne libre cours dans ces recueils au même sentiment de perte, mais avec des tonalités très variées allant du cri de douleur à la méditation métaphysique chuchotée. Il confirme de nouveau sa place parmi les plus grands poètes arabes contemporains.
Dimanche 12 juillet 1998. Dans la banlieue de D., une ville française anonyme. Yannick et Hakim, des ados inséparables, ont attendu ce jour avec impatience et une ferveur mêlée d'angoisse. Les mains moites, le coeur battant, ils prennent peu à peu conscience que le jour de gloire, pour eux et pour la France, est enfin arrivé. Leur vie, comme projetée en avant sur les millions d'écrans en cette journée historique d'un été brûlant, va s'en trouver bouleversée...
En présentant onze miroirs dans lesquels il se contemple et qui reflètent chaque fois un moment de sa vie et une facette de son portrait, le poète libanais Abbas Beydoun compose une autobiographie peu commune, bien que marquée par le souci constant de se raconter dans un "esprit de vérité". Salué à sa sortie par une presse unanime, Les Miroirs de Frankenstein peut être considéré comme l'un des plus beaux textes en prose de la littérature arabe d'aujourd'hui.
Ce livre examine les modalités d'insertion des économies arabes dans les réseaux internationaux de production et d'échange, dans le système énergétique mondial, et dans le système monétaire et financier international.
Comment expliquer le décrochage économique des pays de la région ? Quelles stratégies de spécialisation des économies arabes dans la globalisation ? Quelle diversification pour sortir de la dépendance aux hydrocarbures ? Quel modèle de croissance face à la compétition internationale ?
Ce livre constitue la traduction des deux premières parties des Jawâhirul Mâ'ânî, une compilation des exégèses, fatwas, correspondances, réponses à des questions, dires et vertus de Chaykh Ahmad At-Tijâni. Il permet de mieux connaître la dimension du Saint Chaykh Ahmad At-Tijâni, porte-étendard de l'islam soufi, sa vie, ses traits de caractère, son parcours spirituel jusqu'à ce qu'il embrasse la voie Tijânie.
Avec l'avènement de technologies de plus en plus performantes, les rapports au Soi et à l'Autre ont été transformés et par la même les revendications identitaires. Cet ouvrage interroge le concept d'identité et propose un regard nouveau sur le contexte précis des technologies (ordinateurs, réseaux sociaux virtuels tels que Facebook, podcasts, téléphones portables, robots...). Les auteurs des contributions examinent les mécanismes de (co-)constructions et d'inventions identitaires ainsi que l'impact de ces "Technologies Numériques du Soi".
Cet ouvrage rassemble 53 fables d'Abbas Towfiq qui ont une dimension attrayante et plaisante pour les publics francophones. À travers ces fables d'animaux, le lecteur est amené à saisir la particularité culturelle, le mode de pensée et de communication des Iraniens et l'humour persan. Les caricatures illustrant certaines fables dégagent de manière amusante et fine leurs idées maîtresses.
Ce fut le cambriolage le plus people de la dernière décennie : le 3 octobre 2016, Kim Kardashian s'est vu dérober 9 millions d'euros de bijoux dans sa suite parisienne. Pour la première fois, Yunice Abbas, l'un des " papys braqueurs " à l'origine du coup, raconte " de l'intérieur " le déroulement du braquage - avec exactitude et sans esbroufe.
Dans la nuit du 3 octobre 2016, Kim Kardashian, venue à Paris pour la Fashion Week, est séquestrée par un gang de " papys braqueurs " vêtus de K-ways et de casquettes de police. Neuf millions d'euros de bijoux : le butin le plus important jamais obtenu, en France, aux dépens d'un particulier. Le tout à pied et à vélo !
Pour la première fois, l'un de ces truands chevronnés raconte " de l'intérieur " le montage, la réalisation, puis le fiasco final de ce " casse du siècle ". Une opération presque parfaite, qui a permis de détrousser sans violence la reine des réseaux sociaux. Le " coup " le plus incroyable d'un parcours de bandit à l'ancienne, que retrace ici Yunice Abbas.
Avec gouaille et panache, sans esbroufe ni remords, il livre nombre de révélations et d'anecdotes inédites. L'occasion, aussi, de corriger les récits rocambolesques colportés sur une affaire qui n'a pas révélé tous ses mystères.
This book investigates the forgotten years of Kurdish nationalism in Iran, from the fall of the Kurdish republic to the advent of the Iranian revolution. An original and path-breaking investigation of the period, it sheds light not only on the historical specificity of the phenomenon of nationalism in exile, but also on the political processes and practices defining the development of Kurdish nationalism in the post-revolutionary era. Although nationalist landmarks such as the Kurdish republic in 1946 and the resurgence of the movement in the revolutionary conjuncture of 1978-79 have attracted the attention of historians and social scientists in recent years, little is known about the three decades of Kurdish nationalism in exile between these two events. This analysis draws on contemporary poststructuralist theory to question the concept of the minority in democratic and constitutional theory, arguing that it is an effect of the discursive linkage between sovereign power and the dominant ethnic-linguistic identity in the nation-state. This text will appeal to a wide academic audience ranging from the fields of Kurdish, Iranian and Middle East Studies to ethnicity, nationalism, government, and political science.
This book provides powerful insights into the dynamics, nature, and experiences of the terrors of counter-terrorism measures in the UK. Abbas links her analysis to wider concerns of nation construction and belonging; racial profiling and policing; the state of exception and pre-emptive counter-terrorism measures; community-based counter-terrorism measures; and restrictions to political engagement, freedom of speech and hate speech. What makes this work distinct is its advancement of an original framework - the Concentrationary Gothic - to delineate the racialised mechanisms of terror involved in the governance of Muslim populations in the `war on terror' context. The book illuminates the various ways in which Muslims in Britain experience terror through racialised surveillance and policing strategies operating at state, group (inter- and intra-), and individual levels in diverse contexts such as the street, workplace, public transport and the home. Abbas situates these experiences within wider racial politics and theory, drawing connections to anti-Semitism, anti-blackness, anti-Irishness and whiteness, to provide a complex mapping of the ways in which racial terror has operated in both historical and contemporary contexts of colonialism, slavery, and the camp, and offering a unique point of analysis through the use of Gothic tropes of haunting, monstrosity and abjection. This vital work will be of interest to students and scholars across sociology, criminology, anthropology, terrorism studies, Islamic studies, and critical Muslim studies, researching race and racialisation, security, immigration, nationhood and citizenship.
This book provides an introduction to the vision of an economic system based completely on the Holy Qur'an-a system defined as a collection of institutions, representing rules of behavior, prescribed by Allah for humans, and the traditions of the Messenger. The authors argue that the main reason for the economic underperformance of Muslim countries and their economies has been non-compliance with the prescribed rules of behavior. Rule non-compliance has been chiefly due to the failure of Muslims to comprehend the Metaframework of the Qur'an and the Archetype Model of the Prophet Mohammad and interpret them in ways compatible with their own generation and time. Askari and Mirakhor believe these rules (institutions), properly adapted to prevailing conditions present what they consider as an ideal economic system.
A l'heure où son régime juridique se cherche encore, nombreuses sont les zones d'ombres qui obscurcissent le réseau Internet. Incarnant les rêves de la société de communication, il préfigure aussi une criminalité de communication. La portée de la Cybercriminalité, ainsi que sa définition, sont à préciser. Il convient de clarifier les liens entretenus avec la criminalité classique et la criminalité informatique. Il importe enfin de se demander si les règles juridiques traditionnelles sont appropriées pour maîtriser Internet.
This book examines the application of risk-sharing finance as a national economic policy in history and how it stimulated economic recovery during a short period in Germany between 1933 and 1935. Economic history indicates that risk-sharing instruments have promoted socio-economic development in many parts of the world while risk-shifting methods have imposed huge socio-economic costs on many nations, leading to debt slavery on individual members. This book highlights lessons to be learned from history and argues that risk-sharing is a powerful tool for generating rapid economic recovery and resumption of growth.
The Druze, a much-misunderstood Muslim sect primarily inhabiting the Levant, have endured centuries of persecution by orthodox elements hostile to Islam's rich sectarian diversity on account of their esoteric divergence from mainstream Islam. As a result, they have become a 'fighting minority', as described by one of their most illustrious leaders. Druze religious belief branched out from tenth- and eleventh-century Shi'ism, and includes elements derived from Islamic mysticism. It enshrines all religious schools, but posits istelf as the sole path to mystical knowledge. Druze teachings are kept secret, so libel and slander by their opponents have been generally left uncorrected. The Druze have preferred taqiyya (dissimulation) when independence or freedom of belief proved unattainable, which has exacerbated ignorance of their faith. Such mystification makes any enquiry into Druze doctrine or history a delicate endeavour. In this valuable study, however, Abbas Halabi (himself from a prominent Druze family and closely involved in Lebanese Druze policy) elucidates misconceptions about Druze origins. Halabi elaborates on the political role played by the Druze in the history of the region, and evaluates their chances of survival in an era when religious tolerance and political democracy are still nascent.
Islamic political radicalism in Europe has seen dramatic growth in recent times. This book offers a sociological, anthropological, psychological and political science analysis of the causes and consequences of this phenomenon.Authors explore the motivations behind such radicalism, focusing on an array of different factors. These include economic and social alienation, political and cultural marginalisation, gender and masculinity, and psychological issues, both at an individual and community level.Other issues discussed are the state responses, national and international, to the 'War on Terror' which came about after the attacks on America in September 2001; and the role of Islamic political organisations and their impact on changing ethno-religious identities. This is considered particularly in relation to concept of the Ummah and its influence on the position of Islam and Muslims in places such as Iraq, Afghanistan, and Palestine, as well as Bosnia, Chechnya, and Kashmir.The authors provide an a
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La guerre d'Algérie est terminée depuis près de vingt ans. Le temps d'une génération. Pourtant, on l'a vu encore en septembre 1981 à propos du choix d'une date commémorative, les passions sont toujours à vif. Après « Autopsie d'une guerre - L'aurore », voici un autre livre de Ferhat Abbas, premier président du Gouvernement provisoire de la République Algérienne, qui aide à mieux comprendre le fatal enchaînement qui accula deux peuples à une sanglante épreuve de force. Dans ce recueil d'articles, publiés entre 1922 et 1929, Ferhat Abbas, « le médiateur, le conciliateur, l'arbitre » (Jules Roy), le « pacifiste qui n'a opté pour la violence qu'en dernier recours, et la mort dans l'âme » (Jean Daniel) dissipe les fumées de grossières contre-vérités. Qu'il aborde le service militaire « à titre indigène », l'exode des ouvriers algériens vers la France, la situation des intellectuels musulmans face à la colonisation, les réformes enterrées, les intérêts privilégiés, les erreurs aberrantes de bonne ou de mauvaise foi, Ferhat Abbas parle sans haine ni rancoeur. Son seul objectif : une vraie réconciliation entre la France et l'Algérie. Aux articles écrits entre les deux guerres, l'auteur a ajouté un document pour la première fois rendu public : le rapport qu'il fit, en avril 1941, au Maréchal Pétain, en faveur de l'égalité des droits en Algérie et d'un plan de rénovation de l'Algérie musulmane. Ce rapport n'eut aucune suite. « Écoutons Ferhat Abbas... Il parle aux (et des) Français d'Algérie, comme bien peu de responsables de notre politique ont su - jusqu'à maintenant - le faire » écrivait Benoît Rayski dans France-Soir, après la sortie d'« Autopsie d'une guerre ». On peut le dire encore du « Jeune Algérien ». Les articles repris en première partie de cet ouvrage, avaient déjà été réunis sous le titre « Le Jeune Algérien » dans un livre paru en 1931. Pour la présente édition, ils ont été précédés d'un long « Avertissement » de l'auteur, replacés dans leur contexte historique et complétés par des notes.
La guerre d'Algérie est terminée depuis près de vingt ans. Le temps d'une génération. Pourtant, on l'a vu encore en septembre 1981 à propos du choix d'une date commémorative, les passions sont toujours à vif. Après « Autopsie d'une guerre - L'aurore », voici un autre livre de Ferhat Abbas, premier président du Gouvernement provisoire de la République Algérienne, qui aide à mieux comprendre le fatal enchaînement qui accula deux peuples à une sanglante épreuve de force. Dans ce recueil d'articles, publiés entre 1922 et 1929, Ferhat Abbas, « le médiateur, le conciliateur, l'arbitre » (Jules Roy), le « pacifiste qui n'a opté pour la violence qu'en dernier recours, et la mort dans l'âme » (Jean Daniel) dissipe les fumées de grossières contre-vérités. Qu'il aborde le service militaire « à titre indigène », l'exode des ouvriers algériens vers la France, la situation des intellectuels musulmans face à la colonisation, les réformes enterrées, les intérêts privilégiés, les erreurs aberrantes de bonne ou de mauvaise foi, Ferhat Abbas parle sans haine ni rancoeur. Son seul objectif : une vraie réconciliation entre la France et l'Algérie. Aux articles écrits entre les deux guerres, l'auteur a ajouté un document pour la première fois rendu public : le rapport qu'il fit, en avril 1941, au Maréchal Pétain, en faveur de l'égalité des droits en Algérie et d'un plan de rénovation de l'Algérie musulmane. Ce rapport n'eut aucune suite. « Écoutons Ferhat Abbas... Il parle aux (et des) Français d'Algérie, comme bien peu de responsables de notre politique ont su - jusqu'à maintenant - le faire » écrivait Benoît Rayski dans France-Soir, après la sortie d'« Autopsie d'une guerre ». On peut le dire encore du « Jeune Algérien ». Les articles repris en première partie de cet ouvrage, avaient déjà été réunis sous le titre « Le Jeune Algérien » dans un livre paru en 1931. Pour la présente édition, ils ont été précédés d'un long « Avertissement » de l'auteur, replacés dans leur contexte historique et complétés par des notes.
Intensive care medicine is a dynamic and evolving specialty, requiring its practitioners to be part physician, physiologist and anaesthetist. This requires a firm foundation of knowledge and an ability to apply this to the clinical situation. This book contains 270 multiple-choice questions allowing self-assessment of the breadth of knowledge required of the modern intensivist. The book is divided into three papers each consisting of 60 multiple true false (MTF) and 30 single best answer (SBA) questions covering areas including resuscitation, diagnosis, disease management, organ support, and ethical and legal aspects of practice. The MTF questions test factual knowledge and understanding of the evidence base underpinning intensive care medicine, while the SBA questions test the ability of the candidate to prioritise, compete options and make the best decision for the patient. Each question is peer reviewed and accompanied by concise and detailed explanatory notes with references to guide further reading. All the authors are practising intensive care physicians with firsthand experience of professional examinations in the specialty. This book will appeal to intensive care physicians approaching professional examinations worldwide, including the European Diploma, American Board and Faculty of Intensive Care Medicine examinations. In addition, it will appeal to intensive care nurses and allied healthcare professionals wishing to update their knowledge as part of continuing professional development, and to physicians sitting professional examinations in related specialties requiring knowledge of intensive care medicine such as general medicine, general surgery and anaesthesia. This new book will complement the existing international best-selling title `Multiple Choice Questions in Intensive Care Medicine' (ISBN 978 1 903378 64 9), also written by Dr Steve Benington.
Les Mémoires d'un souverain du khédive Abbas Hilmi (1892-1914) qui sont présentés ici dans leur version originale, en langue française, posent bien des problèmes qu'on ne peut pas ne pas évoquer brièvement. Il s'agit d'un texte dactylographié dont on ne connaît pas d'original manuscrit. L'Avertissement (qui est peut-être dû à Khalifa Boubli, secrétaire privé de l'ex-khédive, et signataire de Y Avant-propos) indique que le « texte original » a été réparti en chapitres, suivant les indications que le souverain a lui-même données « dans la marge de son manuscrit », et que des notes de sa main ont été insérées à leur place respective. Mais de cette version première du texte nous ne savons rien. La dactylogramme dont nous disposons a fait l'objet de corrections assez nombreuses effectuées par plusieurs relecteurs, mais apparemment non par le khédive, si l'on compare les écritures aux autographes du souverain. Khalifa Boubli ne donne aucune indication sur la manière dont le texte primitif a été rédigé : on peut supposer qu'il a été dicté.